La distance entre nous est obligée
La distance entre nous est obligée. Merci à vous d’exister dans nos cœurs. Véronique et Jean-Pierre Faire un stop, avant de choisir de nouvelles directions
En Technique Alexander comme en équitation Alexander, après la prise de conscience d’un mauvais fonctionnement, il est suggéré de faire un stop, d’inhiber. Et seulement après de se donner une direction avant d’engager l’action. La tête vers le haut et vers l’avant, le dos long et large, les genoux vers l’avant et vers l’extérieur. C’est selon. Là et maintenant , nous sommes tous conduits à faire un stop, chacun d’entre nous et tous ensemble. Nous n’avions pas forcément pris conscience de notre mauvais usage de nous, ou pas complètement. Ce stop est une opportunité pour approfondir notre conscience de ce qui ne fonctionne pas ou si mal chez nous, individuellement comme collectivement. Et après le stop, il sera temps de choisir les bonnes directions à nous donner. Vers l’avant et vers le haut ? Un dos plus long et plus large ? A chacun d’imaginer la direction à se donner. Dès que possible nous vous accueillerons à La Bidauderie pour chercher ensemble les bonnes directions à se donner, à cheval et dans nos vies. Bon courage et bonnes découvertes. Et n’hésitez pas à joindre Véronique si vous souhaitez en parler avec elle : 06 08 56 51 97
La doline du changement à traverser pas à pas Il y a juste 8 jours, nous abordions avec 8 enseignants la vallée du changement, surnommée par une amie belge, la doline du changement. Cette vallée que nous traversons tous quand nous vivons un grand changement, décrit nos différents états psychologiques. Le déni du changement à devoir vivre, la colère quand nous découvrons que ce changement est inéluctable, la peur ensuite de ne pas réussir à le vivre et le surmonter, la tristesse avant de réussir à accepter ce changement, puis l’apprentissage par essai erreur de nouveaux comportements et progressivement la découverte de nouvelles ressources puis la conscience de nos apprentissages. Nous n’imaginions pas, elles comme moi, que nous allions vivre quelques jours après un changement totalement inédit. Oui il y a eu un temps de déni. Oui il y a eu de la colère des retards pris, de l’inconscience de certains. Oui, il m’arrive d’avoir peur pour moi, pour d’autres, pour la santé ou l’avenir économique. L’enseignement de ceux qui ont accompagné des personnes vivant des changements profonds : accepter ces émotions, ne pas se les masquer. Et progressivement en se soutenant mutuellement, nous saurons remonter du creux de la vallée pas à pas, progressivement. En remontant nous découvrirons nos nouvelles capacités et nos nouveaux apprentissages. N’hésitez pas à appeler Jean Pierre si vous souhaitez en parler : 06 82 56 72 12
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